« Les coûts supplémentaires qui ont été engagés du fait des mesures sanitaires font normalement partie des coûts de production » des stocks. Telle est la position de la Compagnie nationale des commissaires aux comptes (CNCC) sur le traitement comptable des masques, des gels hydroalcooliques, ou encore des mesures barrières mises en place dans l’entreprise, pour les exercices clos au 1er janvier 2020 ou ultérieurement.
La Compagnie nationale des commissaires aux comptes estime que les surcoûts engagés du fait des mesures sanitaires doivent être intégrés dans les coûts de production des stocks et que les aides sociales viennent en déduction. Des précisions sont aussi apportées sur l’amortissement des immobilisations non utilisées en raison de la crise.
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18/06/2021